Cinq jours à l’Alpe d’Huez pour la troisième édition d’un rendez-vous annuel immanquable (que j’avais déjà manqué deux fois…) avec mon autre famille, « celle que j’ai choisie, celle que je ressens dans cette armée de simple gens ». Une grande famille recomposée !
Les vingt-et-un virages de la montée de l’Alpe en vélo pour deux courageux (pas moi). En haut, un grand appartement de montagne, 110 m2, trois chambres et deux salles de bain. Batailles de lits, règles de vie, portables interdits (« chose qui n’a plus de prix, elle coupe son portable quand elle est en bonne compagnie… »).
Petites balades dans l’air de la montagne (à pied, ou en VTT), sous le soleil et sans la canicule. La vallée de l’Oisans, les lacs d’altitude, les sommets rocheux, de la neige à la Meije…
La montagne, ça vous gagne ! Image de fraternité, d’amitié, de convivialité… que du bonheur.
Chaque matin, L’Equipe et le pain frais (les croissants le dernier jour). Salade verte à midi, pour compenser les excès de la veille. L’après-midi, la sieste et l’arrivée de l’étape du tour (Lance Armstrong, encore !). Le soir, bar-mitzvah… apéros (pastis ou mirot) et bonnes bouffes entres amis (une raclette, un poulet yassa, des diots au vin blanc avec un gratin de crozets, des pâtes à la carbonara… une purée-saucisses Knacki). Du vin, de Visan (Gaec de l’Argentière, le Rastelet). Fous-rires et bons mots… Fin de soirée autour d’un Taboo et/ou d’un Trivial Poursuit, filles contre garçons… revanche le soir, au pelochon. Yalla !