De New York à Toulouse, personne n’a pu rester indifférent aux drames humains qui ont frappé au hasard tant de milliers d’innocents. Ils sont si nombreux à avoir perdu ceux qu’ils aimaient, père, mère, soeur, frère, enfant, ami… Comment ne pas compatir à leur immense douleur lorsqu’on a soi-même eu la chance d’être épargné par la disparition d’un proche ?
«Life goes on» : la vie doit continuer pour ceux qui restent, même s’il est impossible d’évacuer le manque et l’absence de ceux qu’on a aimé si forts, qu’on aimera toujours. Même s’il faut lutter avec les doutes et les questions qui font mal…
Ô moi, ô la vie,
Tant de questions qui m’assaillent sans cesse…
Ces interminables cortèges d’incroyants,
Ces cités peuplées de fous,
Qu’y a-t-il de bon en cela, ô moi, ô la vie ?
Réponse : que tu es ici.
Que la vie existe, et l’identité.
Que le prodigieux spectacle continue
et que tu peux y apporter ta rime…»
(Walt Whitman cité par M. Keating dans le cercle des poètes disparus)
Que le prodigieux spectacle continue… Au milieu de toutes les atrocités, il y a tant de motifs de réjouissement en ce bas monde, tant de gens formidables, tant de raisons d’espérer et de croire à un avenir meilleur !
“Chaque jour est une vie” chante Louis Chedid… N’attendez pas demain pour vivre, aimer, sourire ou chanter ! Et si vous avez encore peur d’affronter la vie, partez avec moi en voyage au Sénégal…
Que le prodigieux spectacle continue et que tu peux y apporter ta rime…