En passant du côté de St Rémy de Provence, et avant de prendre le chemin du château des Baux de Provence, j’ai retrouvé la route de Fontvieille… le pays de Daudet, de son moulin, et des célèbres Lettres qu’elles lui ont inspirées !
C’était mon troisième passage dans ce petit village provençal plein de charme, et si j’ai fidèlement effectué mon pèlerinage au moulin comme à chaque fois, j’ai également passé une nuit en chambre d’hôte dans une propriété très agréable tenue par une dame surprenante…
J’avais réservé une chambre en trouvant un numéro de téléphone sur le site de l’Office du Tourisme de Fontvieille. Comme ils sont plus d’une douzaine à en proposer sur la commune, il a fallu faire un choix : j’ai choisi les chambres proposées par Madame Cornille ! Au pays de Daudet et du moulin de maître Cornille, voilà l’argument touristique qui fut décisif…
Maître Cornille était un vieux meunier, vivant depuis soixante ans dans la farine et enragé pour son état. L’installation des minoteries l’avait rendu comme fou. Pendant huit jours, on le vit courir par le village, ameutant tout le monde autour de lui et criant de toutes ses forces qu’on voulait empoisonner la Provence avec la farine des minotiers. « N’allez pas là-bas, disait-il ; ces brigands-là, pour faire le pain, se servent de la vapeur qui est une invention du diable, tandis que moi je travaille avec le mistral et la tramontane, qui sont la respiration du bon Dieu… (Alphonse Daudet, Lettres de mon Moulin)
J’ai toujours adoré cette histoire, et Maître Cornille est un peu de ma famille depuis longtemps, comme un vieil aïeul éloigné… Renseignements pris, le mari de madame Cornille est bien le descendant d’une famille de meuniers, reconvertis dans l’agriculture. Je n’oublierai pas la verve provençale, la gentillesse et l’hospitalité de Madame Cornille, ni son invitation à venir ramasser les olives à la propriété, tous les ans autour du 11 novembre !
Bonjour,
et moi qui croyait que les “cornille” étaient oubliés de tous.
Quand on me demande comment s’écrit mon nom,
je leurs réponds : ” Cornille, comme le secret du maitre!”
Et on me regarde comme si j’étais un extra-terrestre !
Bonne continuation…
Bonjour maître
Descendant d’une famille de meuniers, toi aussi tu es ? Je dirai plutôt à ta place : “Cornille, comme le maître du secret !”
je suis née cornille en 1951 à Ollioules /Toulon ainsi Mon frère né en 1948
à Toulon Mon Grand_ Père Cornille Ernest Jeoseph né le11 Août 1904 à Toulon quartier les routes Toulon.
nous decendont aussi de Lazare Cornille né à Allos Basse Alpes et décédé en 1767 à Allos 04 Marier avec Pellat Madeleine période de l’acte1760-1785
+1804 à Allos 04 de leur mariage est né Jean-François 1764 et 1804 son epouse Marguerite Mouriès. Je serai contente si vous pourrai me dire si nous sommes Parent,?? car je fait l’arbre Généalogie .
je vois que nous decendons de cornille lazare et de son epouse madeleine pelat leur fils jean françois et son epouse marie louise pelat.et marie le 25/11/1804 lorgues 83avec marguerite mourriès decede le 1781.
de cet union est né philibert marius cornille 1812 avec thérese bonneau 1817
est né etienne alexandre cornille ca 1836-1889 marie a hortence victorine tourtin a mazaugues var.je voudrez s’avoir les parents de lazare cornille et de quels departement ils veinnent car c’est ma branche directe jusqu’a ma naissance. mais je vois aucune reponse de votre part depuis le 5/08/2007.
merci par avance si vous repondez. dom
Euh… moi je veux bien vous répondre mais je ne suis pas un Cornille ! Mon père est bien calé en généalogie mais il s’occupe de la vallée du Gier et le Gier ne coule malheureusement pas jusque dans le Var
Frédéric Cornille n’avait pas laissé d’adresse mail… Quant à la famille Cornille de Fontvieille, vous pouvez la contacter sur ce site.
Bon courage !