Calogero, retour de concert

Un concert de Calo, à travers les mots de Calo… Pourvu que les secondes soient des heures !
Calogero

Calogero

Vendredi, 19 heures, dans le métro.

J’anticipe les bruits du bonheur,
Les bruits qui l’annoncent
Sont avant-coureurs de plaisir…

J’oublie la fatigue de la semaine, impatient, je file vers la halle mon billet en poche…

19h30, Halle Tony Garnier, file d’attente.

J’arrive à me glisser juste avant
Que les portes ne se referment…


Je retrouve sans encombres Nanie et Patal
dans la fosse, à quelques mètres de la scène. La jolie Romane Serda vient nous servir quatre petites chansons en guise d’apéro… et s’efface.

21h, premiers accords.

Rouler les yeux fermés
Plus besoin de parler…

Calo est là. La salle frissonne, la scène s’illumine, les guitares décollent. Et moi avec.

En apesanteur…
pourvu que les secondes soient des heures…

Calo déchaîné !

Calo déchaîné !

Il a pris du coffre, le p’tit Calo, depuis l’été 2002, où je l’avais vu en première partie de Noah à Fourvière. Plus présent musicalement bien sûr (comme son dernier album le laissait pressentir), mais aussi physiquement, humainement… Plus mature, plus expressif (voir la photo !), plus à l’aise… plus grand, tout simplement. Meilleur.

Il varie les plaisirs. Piano solo ou guitare tempo. Le public suit. Moi aussi. Je chante.

Les yeux rivés sur les étages,
Pourvu que rien n’arrête le voyage…

23 heures et quelques… Halle Tony Garnier, au bar.

Petit débriefing autour d’une pression avec Nanie et Patal.

C’est un jour parfait
Ni bon ni mauvais
Juste un jour parfait
Rien pour nous arrêter…

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